Ces endroits vous disent-ils quelque chose?
J'y ai laissé des morceaux de moi-même, et je brûle d'y retourner, vous aussi?
Loebl Pass, Stari Grad, Senj, Sarajevo, Mostar, Slavonski Brod, Siçevo, la Save, la Nišava, Edirne, Gelibolu, Eyüp, Bartin, Kizilcahamam, Tuz Gölü, Kangal, Mardin, Hasankeyf, Diyarbakir, Nemrut Dagi, Erdemli, Kiz Kalezi.
Il y a 3 jours
4 commentaires:
Oui oui Mardin et Hasankeyf me "parlent" entre autres tout particulièrement car j'y suis allée à 4 reprises... Vous trouverez d'ailleurs des billets sur ces lieux sur mon site (dans la rubrique "publications" et "sud-est". Bon vent à votre blog.
Bonjour Nathalie,
J'ai été lire votre article sur Hasankeyf et il était fort intéressant.
Je suis très impressionné par les villages engloutis dans les lacs artificiels et il y en a dans nos pays aussi.
Ce qui me frappe, c'est l'idée que tout un passé est englouti, figé, sans destruction préalable.
C'est déjà impressionnant de traverser un village abandonné, j'en ai vu en Croatie.
Pour revenir au Tigre, c'est amusant aussi de voir la route plonger d'un seul coup dans l'eau et d'attendre un bateau pour continuer son chemin. Amusant aussi de voir, tout à coup, un panneau 'Stop' rouge émerger au milieu d'une étendue d'eau.
Avec toute mon amitié,
Patrick
Cher Patrick,
De tous ces endroits que vous avez cité je n’ai malheureusement vu que Eyüp et Edirne … Je n’ai pas encore visité l’Anatolie Centrale (sauf mes voyages d’affaires à Ankara comme aujourd’hui) et Sud Orientale … Sarajevo et Mostar me disent beaucoup de choses autant que l’Anatolie car, même si ce n’est plus l’Empire Ottoman nous gardons encore des liens sentimentaux forts avec ces terres et donc même si ma famille n’est pas des Balkans (mais de Grèce, côté paternel) ces deux villes que je n’ai pas eu la chance de visiter ont bien une place dans mon cœur.
Amitiés,
Müge
Bonsoir Müge,
J'ai découvert Sarajevo en 1983, c'était quasiment la première fois que je quittais mon pays et j'ai découvert le dépaysement.
J'ai apprécié le côté oriental de cette ville et cela s'est confirmé quand j'ai découvert la Turquie.
Tout cela je le dois à une guide fabuleuse qui m'a entraîné vers des horizons que je n'imaginais même pas à l'époque.
J'aimerais revoir Sarajevo après toutes ces années et, en même temps, je crains de retrouver une ville transformée. Je n'ai pas idée de ce qui a été détruit, ni de ce qui a pu changer.
Edirne, c'est magique! C'est le souvenir de ma première entrée en Turquie, le soleil se levait devant moi et les minarets se découpaient sur l'horizon.
J'ai encore toujours des frissons quand j'y arrive.
Arriver en avion à Istanbul, ce n'est pas la même chose, on n'arrive pas à Istanbul, on y est plongé en une seule fois.
Avec toute mon amitié,
Patrick
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